Le cauchemar de la comtesse Toutschkov
L'ordre des templier
Trésor de Renne-le-château
1. La malédiciton de Lokrun
Quand je regardais l'île de Lokrum, du haut des remparts de DUBROVNIK, je réfléchissais à tous les malheurs qui sont tombés sur cette île qui semblait être au premier abord, paradisiaque;
Cette île, merveilleusement boisée est déserte, seuls des oiseaux et des paons la peuplent.
"Selon la légende, de grands malheurs s'abattront sur ceux qui voudront l'habiter.
"L'histoire commence lors de la fondation d'un monastère bénédictin sur l'île.
"Un redoutable incendie ravagea la ville de Dubrovnik en 1023 et ses habitants "firent voeux de construire un monastère du nom de sT Benoît, si celui-ci épargnait "la ville.
"L'incendie s'éteint presque instantanément. Les citoyens de Dubrovnik, fidèles à "leur promesse, construisirent le monastère et une église en l'honneur de la Vierge "Marie. C'est l'archevêque de la ville qui aurait perdu son habitation lors de "l'incendie, qui décida de son emplacement sur l'île. Il le fit richement décorer et "aménager.
"Des siècles plus tard, un général de l'armée française ordonna la fermeture du "monastère et l'expulsion des moines bénédictins.
"Il avait l'intention de prendre possession de l'île et de l'utiliser à ses fins. Il "fut aidé en cela, par 3 aristocrates venant de Dubrovnik.
"Selon la légende, les moines outrés par l'attitude du général, refusèrent de "partir. Les tentatives de négociations échouèrent. Les moines firent une dernière "messe sur l'île.
"Ils mirent leurs manteaux à capuchon et procédèrent à un curieux rituel. Pour jeter "une malédiction, ils tournèrent leur bougie allumée à l'envers, le feu vers la "terre, de sorte de laisser une traînée de cire fondue sur le sol.
"Ils firent le tour de l'île trois fois, ce qui leur pris toute la nuit. Leurs "chants furent terribles et promettèrent de grands malheurs à tous ceux qui "oseraient s'approprier leur île et y habiter.
"La malédiction fit effet très rapidement :
"- un des aristocrates qui avaient aidé le générale français à expulser les moines, "sauta d'une fenêtre.
"- un autre fût noyé en mer en essayant de rejoindre Lokrum
"- le dernier fut tué par son domestique.
"- Le capitaine Tomasevic, nouveau propriétaire de l'île après la chute de la "République, était un homme extrèmement riche, mais il fit faillite peu de temps "après avoir achté l'île qu'il dû revendre.
"- Elle fut vendue à Maximilien, le frêre cadet de l'Empereur autrichien François "Joseph Ier. Il a découvert l'île par hasard, en 1859, alors qu'il enquêtait sur le "naufrage d'un bateau, le Tristan, "catastrophe qui tua plusieurs marins. Il dû les honorer et mis pied à terre.
"Le monastère avait été endommagé dans le tremblement de terre de 1668. IL décide "donc d'acheter l'île et de transformer le monastère en manoir d'été.
" Devant la beauté de l'ile, Il avait envie de transformer ce paradis terrestre et "le faire partager avec sa famille.
"Puis le devoir ou la malédiction bénédictine, envoya Maximilien au Mexique le 28 "mai 1864. Il y resta trois ans avant d'être fait prisonnier par les soldats du "général rebelle Juarez qui le fit exécuter le 19 juin 1867.
"L'île fut donc offerte au comté de Dubrovnik pour la somme dérisoire de 20000 "pièces d'argent, mais personne ne voulait l'acquérir.
"- L'île fut ensuite achetée par un noble issu d'une famille italienne, un certain "Dujmovic de Poljica de Vienne. Il eut beaucoup de problèmes financiers et dû la "revendre.
"- C'est le Docteur Jakopovic de Budapest qui l'acquiert. Il contrôlait les affaires "de l'empereur Francois Joseph Ier. Cependant, après l'achat de l'île, on découvre "qu'il avait usurpé le titre de docteur, qu'il était en fait....coiffeur! Il fut "ruiné, humilié et rejeté par ses amis et le cercle mondain dont il faisait parti.
"- Son neveu, un jeune capitaine de Hussard, hérite de l'île. Le ler jour de son arrivée, un vent violent retourne son bateau entre Dubrovnik et l'île et périt noyé.
"- Rodolphe, fils de François Joseph et d'Elisabeth de Bavière, hérita de l'île et "s'y installa avec Stéphanie son épouse. Ils y restèrent un certain temps, "profitèrent de l'ile et de ses paysages merveilleux. Peu de temps après, il tombe "amoureux de Marie Vetséra et nous connaissons la fin tragique à Mayerling, fin "entourée de mystères.
"- L'impératrice Elisabeth, incité par les hisoires de la méladiction, décide la "famille royale à se débarrasser de cette île. Avant de partir à Corfou, elle "l'offre à des Bénédictins dans l'espoir que la malédiction cessera. Cependant, les "moines fidèles au voeu de leurs frêres, refusent l'offre de la Cour Royale.
"La famille hantée par la crainte de perdre encore un autre membre de la famille, "donne leur argent aux dominicains de Dubrovnik pour qu'ils achètent l'île.
"- L'evêque Josip Juraj Strossmayer offre aux enchères, pour un client Mihovil "Pavlinovic la somme de 30000 florins. Un télégramme ordonne d'arrêter les enchères. "quelqu'un du ménage de l'empereur souhaite acheter Lokrum". C'est en fait la "princesse Elisabeth Windischgratz, fille de Rodolphe et de Stéphanie. Elle persuade "son grand père d'acheter l'île. Ce qu'il fit le ler octobre 1879. Cinq ans après, "sa femme Elisabeth (Sissi) est tuée par l'anarchiste italien lucceni.
"Toutes ces histoires ne sont qu'un fragment des nombreux récits entourant Lokrum. "La superstition est devenue si répandue que personne ne veut y vivre à long terme. "L'imagination collective est la sourc de nombreuses légendes entourant cette île "mystérieuses.
"Les nombreuses cavernes de l'île, lorsque la mer se déchaîne et que les vagues "frappent lintérieur des parois, font des échos menaçants qui ne laise pas la "population indifférente.
"Selon des vieux documents dans les archives de Dubrovnik, des criminels ont été "jetés dans la mer du haut des falaises de Lokrum, durant le Moyen Age.
"- le bateau du roi anglais, Richard Coeur de lion fut éventré sur les falaises de "l'île pendant un violent orage.
"- En 1859, le bateau autrichien Triton s'échoue dans le canal de Lokrum. Il n'y a "qu'un survivant, un prisonnier éjecté du bateau. Pour rechercher le bateau, c'est "Maximilien d'Autriche qui s'en charge.
"Aujourd'hui, l'île est un lieu d'excursion pour les touristes et maintenant, elle "est sous la protection de l'UNESCO."
En tout cas, ces histoires ne m'ont pas incité à la visite. Je me suis contentée de l'admirer de loin.
2. Le cauchemar de la comtesse Toutchkov
L'histoire ce déroule en 1812, alors que les troupes de Napoléon font la guerre en Russie. La femme du comte Toutschkov, un général russe, fit un songe terrifiant.
Dans ce rêve, qu'elle décrira en détail à son mari après l'avoir rêvé deux autres fois, elle se trouvait dans une chambre d'auberge, quelque part dans une ville qu'elle ne connaissait pas. Son père entra alors dans sa chambre, tenant par la main le jeune fils de la comtesse. La mystérieuse apparition lui apprenait une terrible nouvelle, son mari venait de se faire tuer: «Il est tombé ! Il est tombé à Borodino!»
La comtesse et son mari décidèrent d'examiner les cartes mais, ne purent nullement découvrir le nom de Borodino.
Le 7 septembre 1812, les troupes russes se décidèrent à affronter les Français. C'était dans un petit village nommé Borodino, à environ 110 kilomètres de Moscou. La comtesse, son mari (alors commandant en chef des troupes de réserve de l'armée russe) et le reste de sa famille avaient été logés dans une petite auberge située à quelques kilomètres seulement du champ de bataille.
Le lendemain matin, le père de la comtesse entra dans sa chambre en tenant son jeune fils par la main. «Il est tombé, dit-il. Il est tombé à Borodino». La prémonition qu'elle avait eu à trois reprises s'était avéré véridique.
3. L'ordre des templier
Voir le site: http://templier.weebly.com/ car se serait trop long de tout écrire.
4. Le trésor de Renne-le-chateau
Une entrée allongée dans la paroi calcaire d'une colline située à quelques kilomètres de Rennes-le-Château. D'après les chercheurs, elle pourrait contenir les restes d'un trésor wisigoth./ Photo DDM, Didier Donnat
Alexandre Painco, 48 ans, employé communal à Nebias, est maire de Rennes-le-Château (65 habitants, dont 23 au village) depuis 2008. La découverte de Sougraigne ne l'émeut pas outre mesure : « Cette histoire se cumule aux autres, bien sûr qu'il y a un trésor à Rennes-le-Château, maintenant quant à savoir s'il est monétaire ou spirituel ?….se demande-t-il dans un sourire.
Alexandre Painco a appris par La Dépêche la localisation d'un passage à Sougraigne. Lui-même, à la mairie, suit de près une demande de fouilles formulées par des Anglais : « Ils ont déposé un dossier en bonne et due forme auprès de la Drac pour sonder le sol de Rennes-le-Château, des chercheurs de l'université de Souhtampton sont venus détecter une cavité avec un gros radar. Des trous, il y en a, comme dans toute région calcaire, on est sur du gruyère… »
Aux termes de l'accord entre la commune et l'équipe, si un trésor est mis au jour, il reviendra à la collectivité, les Anglais se contentant de garder l'exclusivité du tournage de la fouille. Mais si le trésor est à Sougraigne…
D'après le jeune élu, qui voit passer plus de 100 000 visiteurs par an, des chercheurs ont déjà trouvé « des choses » dans le sol de Rennes : « Ce que je voudrais, c'est organiser une rencontre où chacun montrerait ce qu'il a trouvé », espère-t-il, en rappelant d'un geste désignant un vieux panneau : « Les fouilles sont interdites sur le territoire de la commune de Rennes-le-Château ».
Le trésor d'Eauze, dans le Gers.
Le fabuleux trésor gallo-romain d'Eauze doit sa découverte, en 1985, à de simples fouilles réalisées à l'occasion d'un permis de construire. Quelque 28 000 pièces de monnaie ont été découvertes, ainsi que des bracelets, des bagues, des colliers et un médaillon de l'empereur Marc-Aurèle. Le propriétaire du terrain fut dédommagé par l'État en 1986 et reçu à l'époque quatre millions de francs.
Le trésor de Napoléon III, dans les Hautes-Pyrénées.
Dans la riche demeure où avait séjourné l'Empereur à Luz-Saint-Sauveur, un trésor : une boîte en fer dissimulée sous le parquet de la bibliothèque renfermait 883 pièces d'or. Quatre ouvriers, chargés du chantier de rénovation de la maison, ont découvert le trésor en octobre 2007.
Le mystérieux trésor du pont Louis-Philippe, à Cahors.
L'ouvrage, inauguré en 1838, renfermerait dans ses pierres un trésor. Des pièces d'or et d'argent à l'effigie du roi seraient placées au sommet de l'une des arches du pont Louis-Philippe. Un hommage que la ville aurait rendu à Louis-Philippe pour avoir débloqué 900 000 francs afin de payer l'édification de l'ouvrage.
Un trésor de 100 000 €, à Millau.
Un jeune couple de Millau a découvert cette année un trésor d'une valeur de 100 000 €. Dans leur cave, un petit pot en terre cuite recouvert d'une tuile contenait 34 pièces d'or datant de 1595 à la Révolution. Le trésor appartient en intégralité au jeune couple, propriétaires de la maison. Ils avaient failli céder leur trouvaille à un homme pour 1 800 €…
Révélé dimanche sur un forum internet (1), l'existence d'un boyau calcaire pouvant receler un trésor près de Rennes-le-Château n'aurait pas été éventée sans un conflit survenu entre spécialistes. Depuis 2000, Michel Vallet et Didier Héricart de Thury ont mené des recherches conjointes. Rejoints par Franck Daffos, autre spécialiste ayant publié des ouvrages sur le sujet, ils étudient à trois à partir de 2007. Ils prospectent sur des terrains calcaires escarpés de la commune de Sougraigne, jusqu'à trouver l'ouverture d'une grotte. Il s'agit de fouilles clandestines, et si le propriétaire du terrain les voit faire « en tenue de treillis », il ne les dénonce pas pour autant. Ce qu'ils ont trouvé ? « Une ouverture à ciel ouvert, étroite… À environ 3 mètres, le conduit se rétrécit, empêchant davantage la progression », détaille Michel Vallet dans sa communication internet. Il s'agirait d'un passage d'un labyrinthe, « où serait caché ce qui y a été déposé (un dépôt très important du VIe siècle) », explique-t-il.
Le voici donc, le trésor des Wisigoths, maîtres de l'Aquitaine à l'époque, qui aurait été retrouvé dix siècles plus tard, et plus près de nous aurait financé les dépenses de l'abbé Saunière, curé à Rennes à la fin du XIXe. Cette « révélation » est faite par celui des trois chercheurs qui voulait justement en freiner la divulgation. Mais Héricart et Daffos font des révélations dans un livre qu'ils sortent sous leurs deux signatures.
Pour Franck Daffos, qui vit aux portes de Toulouse, cette fois-ci, c'est la bonne : « La cavité ouvre sur un boyau de 3 mètres, qui débouche à la verticale sur une grande salle, le trésor est là… » M.Daffos souhaitait trouver une petite caméra pour ausculter l'intérieur de la grotte.
Se sentant écarté par la sortie du livre de ses deux anciens collègues de recherches, Michel Vallet a pris la mouche, et tout expliqué sur un forum internet, détaillant le chemin pour rejoindre la grotte de Sougraigne. « La seule chose qui me faisait peur, a-t-il déclaré cette semaine, c'est que quelqu'un se blesse, j'ai bien précisé qu'il ne fallait pas s'y aventurer seul… Ce trésor ne nous appartient pas, si quelqu'un voulait profiter de la situation, ce n'est pas moi ».
Michel Vallet ne veut plus trouver le trésor. Peut-être ne croit-il plus en son existence ?
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